
Le laboureur et ses chevaux (de magnifiques percherons) devront revenir quand il aura plu suffisamment, le soc de la charrue ne rentre pas assez profondément dans le sol.
Pourquoi le labourage?
Les ceps de vigne sont protégés durant l’hiver, au printemps on décavaillonne toujours avec le cheval qui lui est baucoup plus réactif q’un tracteur et marche au doigt et à l’oeil de son maître, le laboureur.
Pour éliminer les mauvaises herbes on recommence l’opération durant la période végétative jusqu’aux vendanges. Donc pas d’herbicides chimiques. Inconvénient: ça revient beaucoup plus cher, mais c’est un choix et de plus le cheval n’émet pas de carbone. En outre ça permet à Charles Quinard, le laboureur, de gagner sa vie et permet la conservation de la race de ces magnifiques chevaux de trait.